samedi 8 janvier 2011


Vendredi 7 janvier 2011

La nuit a été, comme souvent, à la fois fantastique et horrible. J'ai un peu du mal à m'endormir alors qu'elle tombe de sommeil. Je suis très excité, j'ai une envie folle de lui faire l'amour, ... mais je sais que c'est absolument hors de question avant au moins la fin du paquet de couche. Voir malheureusement davantage car ensuite il lui faudra le "temps" d'avoir envie... Bref, je suis excité mais je sais que je n'aurai rien avant 2, 3 jours, voir 1 ou 2 semaines, j'en sais rien. Donc mieux vaut se calmer.
J'ai toujours du mal à m'endormir, mais elle se colle à moi, met sa main sur ma poitrine, mon ventre (malheureusement pas la couche), j'adore, je suis aux anges, je n'ai même pas envie de m'endormir... On est collés... Génial.......

Puis, je met met à tousser, tousser, tousser (rhume), sans arrêt, à tel point qu'elle finit par se lever en pleine nuit pour me faire un thé, du coup ça passe mais pour ne pas continuer à lui tousser dessus, je suis obligé de dormir un peu dans mon coin... mais le début de la nuit était magique...

Au matin, après le petit déjeuner, elle me change, on passe du temps ensembles (moi très excité, elle toujours assez distante), puis vers 14h on doit sortir, sans elle je me dois donc de porter la cage... Elle me lave avec des lingettes, talc, lait, touche très peu le zizi, puis me laisse 20, 30 minutes sans couche, si je promet d'être sage, histoire que tout cela s'aère et que "tu vois la sensation d'être sans couche"... A un moment je veux faire pipi, je ne sais si je peux aller aux toilettes, si je dois attendre la couche... Elle m'amène aux toilettes en guise de pot et me dit de faire, assis, devant elle... "tu vas faire au pot comme si tu étais un peu plus grand"... Ça ne vient pas. "Bah tanpis soit plus tard soit dans la couche". 20 minutes après, elle me met la cage, la couche. On se sépare. On doit se retrouver vers 18, 19h.

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19h : je viens la chercher au métro, on doit vite se préparer car nous sortons chez des amis (qui viennent d'avoir un bébé...). Elle commence par s'occuper de moi, elle me retire donc la couche puis la cage, me lave, me change. Puis elle s'occupe d'elle. Nous prenons un apéro rapide pour supporter nos amis :-)

On part, chez les amis ça se passe bien, le bébé est mignon comme tout (2 mois), rien de spécial à signaler à part qu'on boit à nouveau du coup on est un peu éméchés, et encore plus que d'habitude, j'ai une envie folle de lui faire l'amour, dans l'ascenseur je l'agresse presque...  S'en suit :

moi> chérie, on va faire l'amour ce soir?

elle> tu as une couche?

moi> oui

elle> alors tu connais la réponse

.... bah oui j'ai une couche c'est elle qui me l'a mise et qui m'a imposée qu'on consomme tout le paquet... Quand je dis imposé c'est aussi pour mon plaisir mais la frustration sexuelle et l'absence de rapports qui va de pair est longue et dure à supporter. D'habitude quand je suis puni sans couche, je n'ai pas le droit de jouir 2, 3 jours, une semaine maximum, mais j'ai parfois le droit de la pénétrer, avec ou sans mouvement. Là, rien... On en est à 5 jours de couche 24/24 aucune exception, 7 jours de punition (pas de jouissance, éjaculation), auxquels s'ajoutent 2 jours où j'avais le droit mais je n'en ai pas profité, au début. J'ai tendance à inclure ces 2 jours dans le compteur de la punition mais elle refuse catégoriquement, je fais donc ici le distingo.

23h : on est de retour à la maison, éméchés, j'ai le droit à pas mal de câlins, caresses, tendresses, très soft mais existantes. Je lui avoue que la nuit précédente j'ai fais une petite bêtise. Je voulais le lui avouer via ce blog mais je n'ai pas eu le courage. Je lui avoue que la nuit précédente j'ai pris le bout de ses doigts que j'ai introduit dans ma couche et donc qui ont touché le bout de mon sexe. Très soft mais je sais que naturellement elle ne le ferait pas, malheureusement. Au plus parfois, assez rarement, elle me caresse un peu à travers la couche, zizi et fesses. Je sais que j'aurais pas du faire ça. Que ce n'est pas gravissime mais bon, à éviter. Je lui demande de ne pas me dire l'éventuelle sanction qui va avec. Elle me confirme qu'en effet ce n'est pas très grave mais qu'en temps normal elle aurait refusé ne serait-ce que par crainte que je souhaite aller plus loin, dit-elle. On a aussi quelques discussions sur cette histoire de couche, de punition, mais on en conclut qu'il est trop tôt, qu'on en parlera quelques jours après la fin de cette "expérience".
Puis elle me change, puis dodo.

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